Rapports de courses 2010
 
 

Sortie à raquettes du 7 février 2010

 But : Plaine-Joux

 
Participants : Jacqueline Bétemps, Gisèle Depraz et sa chienne Tara, Claude Guignard, Janine Keller, Hannick Maurer, Didier Raisin-Dadre, Jean-Pierre Berner et un invité Eric Peyer

 Sept participants plus 2 futurs membres CMC, Eric PEYER, un jeune homme de 44 ans, très rieur, et une toute jeune fille de 4 ans, nommée TARA (enfin du renouvellement !)

 Départ, raquettes aux pieds, pour deux heures de marche avec dénivelé de 150 mètres pour atteindre Ajon et retour par une boucle au foyer de ski de fond de Plaine-Joux.

 Course de début de saison effectuée en pleine décontraction pour affûter sa musculature, avec un temps d’alternance de brouillard et soleil.

 

A bientôt (21.02.10)

 

                                                                                                    Jean-Pierre Berner


Sortie à raquettes du 21 février 2010

 But : Plateau des Glières

Participants : Jaqueline Bétemps, Claude Guignard, Hannick Maurer, Silvia Mändli, Didier Raisin-Dadre, Jean-Pierre Berner.

Jeux olympiques d'hiver du CMC avec 6 concurrents sélectionnés (les meilleurs naturellement).

Temps radieux et neige de cinéma pour le départ à 10 h. 30, parcours d'environ 10 km avec une montée assez raide, puis traversée du plateau (haut lieu de la résistance) par Notre-Dame des Neiges; ensuite cheminement vallonné jusqu'au foyer de ski de fond. Casse-croûte et distribution des médailles.

Médaille d'or : Silvia
Médaille d'argent : Hannick
Médaille de Bronze : Claude.

Les trois autres ont des médailles en chocolat.

Amitiés

                                                                                                 Jean-Pierre Berner

 


Course du 28 mars 2010

 

But : autour de Compesières


 


Participants :

 

Rendez-vous à 13 h. gare de Chêne-Bourg. Nous serons 12 participants avides de prendre l’air.

 Nous partons du château de Compesières, direction Charrot. Le chemin d’Amoz nous conduit sur les côtes de Landecy à travers les vignobles pour aboutir à la Croix-de-Rozon.

Le chemin des Forches nous fait passer devant le magnifique manège d’Evordes et les anciennes fermes rustiques. Nous empruntons le chemin Surpierre. Là le temps se gâte vraiment avec pluie et bourrasques de vent qui retournent les parapluies.

On aperçoit au loin la cathédrale St Pierre et le jet d’eau soufflé par le vent. C’est très beau, mais les mains sont gelées ; aussi allons-nous nous réchauffer à l’auberge de Compesières, accueillis avec empathie par les nouveaux gérants qui nous trouvent une table avec peine, car il y a de nombreux et joyeux dineurs.

Nous nous séparons vers 17 h. après cette promenade sympa sans soleil, mais le principal étant que le soleil soit dans les cœurs !!


Au revoir

 

 

 

                                                                                              Jacqueline Bétemps

  


 


Course du 11 avril 2010


But : randonnée autour de Lullin

 

Participants : Liliane Charbonney, Gisèle Depraz, Anne Dépraz, Fernand & Marie-Claude Hernicot, Jeanine Keller, Henri Marchand, Roger & Mireille Merli, Paul Peschon, Liliane Riondel, Huguette Stelle, Michèle dde Gonzenbach, Esther Watson et 2 invitées de Mireille : Lucienne Girardin et Monique Beili.
Didier Raisin-Dadre, adjoint du chef de course
Jean-Pierre Berner, chef de course.

 

12 abeilles à taille de guêpe, mais sans guêpière, et 6 bourdons tout excités, sortis de la ruche chênoise pour une évasion printanière du CMC.

 Après rassemblement à la ruche de l’Union de Lullin pour savourer un café-nectar, envol des insectes sociaux pour la traversée de la forêt du Brevon, puis grimpée pleine de poésie et de légèreté pour Le Sage et La Grise.

 13 h. l’heure de butiner, casse-croûte avec produits régionaux (miel de montagne, pollen, nectar, sans oublier la gelée royale chère à Mireille, reine du CMC).

 Encore une heure et demie de transhumance à travers forêt, pâturage, clin d’œil à la cascade, pour retrouver les ruches à quatre roues !

 Belle journée, belle nature, sans guêpier ni piqure !

 Amitiés

  

                                                                                            Jean-Pierre Berner

 


Course du 25 avril 2010

 

But : La Laire


Participants : Jeanine Keller, Claudine Jaquet, Liliane Riondel, Liliane Gootjes, Marie-Claude & Fernand Hernicot, Michelle de Gonzenbach, Silviane Mändly, Françoise Kobr, Monique Beili, Lucienne Girardin, Anne Dépraz, Paul Peschon, Liliane Charbonnex, Jean-Pierre Berner, Esther … Gisèle Berthet, cheffe de course.

 Nous partons d’Avusy à 10 h. 45 et il fait déjà chaud. Faisant cette course pour la 5ème fois, je ne réfléchis pas et j’entraîne le groupe sur un chemin privé qui finit par être recouvert de pissenlits et d’herbe. Je me sens perdue, mais Jean-Pierre me rassur en disant que c’est la végétation qui change tout. On continue, mais voilà qu’il y a des clôtures de tous les côtés, ce qui nous oblige à rebrousser chemin pour reprendre le bon un peu plus loin.

 Jean-Pierre nous abandonne, ce qui ne nous choque pas. Nous traversons la passerelle métallique du Racleret qui fait la liaison avec la France et suivons la rivière ; puis nous remontons dans une grande clairière clairsemée de pins sylvestres et redescendons par un petit chemin.

 Nous pique-niquons, assis sur des pierres dans la rivière. Aucun bruit. On a perdu Paul et Liliane qui croyaient prendre un raccourci. Nous ne sommes plus que 14. Nous remontons et passons devant un parc à bisons, puis c’est à nouveau la Laire à Sézegnin. Paul et Liliane sont attablés sur une terrasse.

 Trois personnes rejoignent Avusy par la route, alors que c’est maintenant le plus beau parcours. Notre course se termine à 15 h. 45.

  

 

                                                                                                                  Gisèle Berthet

 


Course du 9 mai 2010

 

But : Mont de Boisy

 

Participants : Paul Peschon, Michèle de Gonzenbach, Hannick Maurer, Liliane Gootjes, Monique Beili, Huguette Stelle, Esther Bourdilloud, Danielle Dorange-Michel, Lucienne Girardin, Claudine Jaquet, Marie-Claude Crotti, Jean-Pierre Berner, Anna-Marie Eicher, Jean-Pierre et Liliane Colinge-Nicol, Roger et Mireille Merli (cheffe de course).

 Départ 9 h. 30 de la gare de Chêne pour un arrêt à l’Intermarché de Douvaine, puis direction Eglise de Ballaison. Le temps est mi-figue mi-raisin. Là, chaussures aux pieds et sac à dos, nous voilà partis pour le Mont de Boisy. Après la traversée du village, une petite grimpette surprenant nous surprend. Pour atteindre la statue de Notre-Dame protectrice des vignes. En suivant dans un champ une large allée bordée  d’arbres nous apercevons la Pierre à Martin. On poursuit sur un chemin principal pour arriver au parking de chasse de Ballaison. Comme il n’est que 11 h. 15, c’est trop tôt pour manger.

Nous voulons continuer, mais plusieurs itinéraires s’offrent à nous. A la première tentative, des barbelés nous arrêtent et nous rebroussons chemin pour trouver une belle sente au sommet de la colline qui nous ramène sur le sentier initialement prévu et que nous craignions trop boueux. Nous le suivons jusqu’au Belvédère sans trop de difficulté, mais la faim se fait sentir (il est déjà 12 h. 45). Dans un endroit propice, chacun sort son pique-nique, malheureusement écourté par le départ précipité de quelques membres afin de trouver une voie de sortie de cette belle forêt que nous avons bien appréciée, pour aboutir sur la route du retour, moins boueuse et plus facile à marcher et il ne pleut toujours pas.

Lors d’un arrêt près d’une maison, un monsieur sort de chez lui pour nous dire qu’un bébé dort. Huguette dit aussi qu’il y a la grand-mère qui dort. Il faut penser que le retour sera long, le groupe s’allonge. Danielle, Roger, Anna-Marie s’arrêtent près d’une maison, sur des escaliers pour se reposer en attendant le taxi (Jean-Pierre) et là aussi  une dame sort de chez elle pour voir ce qui se passait, car ils parlaient fort. Décidément !

L’autre groupe arrive aux voitures. Un arrêt au café, chacun commande sa boisson et vers 16 h. 30 nous nous séparons. Marie-Claude déchire des plastics pour que ses passagers puissent rentrer sans salir la moquette de sa voiture.

Vive la lessive et le brossage des chaussures.

  

                                                                                                                  Mireille Merli


Course le long du Rhône du 30 mai 2010

par PauI PESCHON

 

Participants : Mireille & Roger Merli, Claude Guignard, Huguette Stelle, Gisèle Berthet, Paul Peschon.

 

C'est sous les bons auspices des TPG que nous partons de la gare de Chêne en tram à 8h45 précises.

 Au Pont de la Jonction Gisèle nous rejoint et nous voilà 6 à commencer la marche vers Saint Georges. Roger nous abandonne déjà et nous poursuivons, Mireille, Claude, Huguette, Gisèle et Paul, avalant courageusement les méandres  du Rhône car iI pleut par moments et les parapluies sont appréciés.

 En dépit du temps maussade, personne ne cherche à passer le fleuve avant le barrage de Verbois. Nous dédaignons ainsi la passerelle du Lignon puis celle de I'autoroute et même le Pont d’Aire-la-Ville.

 Au bout de quatre heures environ, nous atteignons le barrage, puis, direction la Gare de Russin, de I'autre côté du fleuve. Nous attendons, assis sur le quai, et voyons successivement passer un TGV, puis deux TER, mais préférons le train-TPG qui, fidèle, nous amène à la Gare de Cornavin ; ne nous reste plus qu'à sauter dans le tram 16 pour regagner Chêne, notre point d’attache.

 Une bien belle vadrouille de mise en jambes, en dépit des passages pluvieux... et

VIVENT LES TPG !

  

                                                                                           Paul Peschon


COMPTE-RENDU DE LA COURSE DU 27 JUIN 2O1O AU CHEVRAN

 

Participants : Lucienne GIRARDIN- Monique BEILI-Roger MERLI -Jacqueline BETEMPS-Béatrice ORY- Jane CHANGEUR-Janine KELLER- Liliane RIONDEL- Esther BOURDILLOUD- Liliane CHARBONNEY-Jean-Pierre BERNER- Marie-Claude CROTTI-Béatrice FAVRE- Paul PESCHON et Liliane GOOTJES (chefs de course)

 

Nous partîmes à 15 depuis la Gare de Chêne-Bourg, par un beau soleil, pour nous retrouver à pied d'œuvre  à 10 heures à Saint Sigismond.

Une montée en alpage facile nous mène au pied d'une forêt et devant un dilemme : sommet de Chevran ou Dent de Chevran ?

 Les balises ne nous renseignent guère sur le cheminement à suivre, par contre les panneaux d'information nous expliquent I'usage du four à pain et de I'atelier de décollement avec force détails !

 Le choix unanime est pour la Dent. A force de la chercher, elle en devient creuse, dans nos estomacs en tous cas ! Nous pique-niquons de bon appétit avec une vue vertigineuse sur la Vallée de I'Arve et la ville de Cluses.

 La descente se fait à travers une forêt sauvage, certainement habitée par une faune nombreuse, mais invisible à cette heure chaude. Après cette excursion, certains décident de la prolonger par une visite au Lac des Gets où quelques gouttes de pluie viennent nous rafraîchir, à défaut d'une baignade.

  

                                                                                                          Paul Peschon


 


Compte rendu de la randonnée du 11 juillet 2010

 

 But :  Les CHALETS DE VORMY

 

Participants : Huguette Stelle, Paul Peschon, Monique Beili, Michelle de Gonzenbach, Danièle Kühne (invitée), Gisèle Depraz (cheffe de course)

  

Au rendez-vous à 8.15h, cinq personnes se présentent. La météo annonce un temps très estival mais orageux dès le midi, en consultant les uns et les autres, nous optons pour une alternative : Corsier-Hermance qui nous donne la possibilité de prendre le bus pour le retour en cas d’orage.

 Heureusement que le matin nous pouvons encore marcher un peu à la fraîche car très vite le soleil fait sentir la chaleur.  Départ au port de Corsier, nous passons sous une passerelle pour parvenir à Anières en se dirigeant vers Chevrens pour trouver le début d’une petite sente et suivre la rive gauche de l’Hermance. 

  Vers 11.30h nous arrivons à la plage d’Hermance et nous décidons de s’installer à l’ombre au lac vers le port.  Paul fait un saut à l’eau et du coup cela nous donne une faim.  Après le repas, le temps reste beau, mais Michelle décide de rentrer en bus à cause de ses chaussures qui lui font mal.  Paul, toujours gentleman, veut l’accompagner ainsi que Danièle.

 Le reste, Huguette, Monique et moi-même, nous profitons de la terrasse de la plage pour prendre une glace ou un café. 

 Retour par le même chemin et arrivée à Chêne-Bourg vers 17 h. Les orages annoncés ne se sont pas déclarés et je regrette un peu car aux chalets à 1900m, nous aurions certainement eu  un peu d’air frais.       

 

                                                                                         Gisèle Depraz 


Compte rendu de la course du 18 juillet 2010

 

But : Colomby de Gex   ***

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5 participants : Claude Guignard (chef de course), Gisèle Berthet, Gisèle Depraz avec la chienne Tara, Mireille Merli, Huguette Stelle.

 

Nous arrivons vers 9h30 au col de la Faucille. Curieusement c’est presque désert. Le temps est pourtant beau mais il souffle une bise plutôt fraîche.

Rapidement nous nous retrouvons à monter dans le bois par un chemin encombré de racines et de pierres qui finit cependant par déboucher sur une route en meilleur état qui nous conduit au pied du Mont Rond. Nous quittons définitivement la forêt pour la journée et grimpons dans l’herbe, en suivant des traces improbables en principe marquées de petits piquets rouges et blancs, pour arriver au sommet. Bref arrêt pour admirer une vue splendide, qui durera tout le long de la course, sur le pied du Jura, le pays de Gex, le canton et la ville de Genève, le lac et tout au fond, surmontant une légère brume, le Mont Blanc dans toute sa splendeur.

La marche se poursuit vers le sud-ouest, en suivant les crêtes du Jura. Mais ce n’est pas plat. C’est une succession de replats, de descentes suivies de grimpées, parfois brièvement raides. A gauche la vue et à droite les pâturages et forêts du Jura, vallonnés jusqu’à l’horizon.

 Le Colomby de Gex apparaît dans le lointain, surmonté de son mât. On s’en rapproche. Mais que de pas il faut encore pour y parvenir à 1 688 m d’altitude, non sans avoir dû se faufiler dans un troupeau de vaches, en apparence placides mais peu disposées à laisser le passage, à un point tel que les participantes préfèrent traverser une barrière électrique pour la mettre entre elles et les ruminants.

 Le sommet atteint, le pique nique s’organise autant que possible à l’abri de la bise, qui souffle par bourrasques mais plus fraîches que froides, presque agréables. Soleil éclatant. Claude oublie la barrière électrique et la touche; une bonne secousse dans l’épaule mais il survit.

 Et c’est le retour. La foule – un bien grand mot peut-être – a envahi la crête. On échange quelques mots avec des randonneurs au long cours. Pour varier, et se convaincre que les chemins qui y mènent sont raides et mauvais à souhait, la randonnée ne bifurque pas pour redescendre à Mont Rond mais se dirige vers le Petit Montrond, surmonté de son antenne blanche. Les participants admirent une dernière fois, longuement, la vue impressionnante depuis la terrasse du restaurant et se lancent dans la dernière descente, droit en bas, hors de tout chemin, en direction du col de la Faucille, glissant sur des pentes herbeuses par endroits impressionnantes mais pas bien longues, bordées par un parcours de luge d’été qui semble rencontrer un vif succès.

 Surprise. Le col de la Faucille est maintenant couvert de voitures. On se lève tard dans la région. Heureusement les nôtres sont toujours là. Durée de la course : environ 5 heures à pas tranquille, arrêts déduits.

 
                                                                                              Claude Guignard


 


COMPTE-RENDU DE LA COURSE du 25 juillet 2010

 

 But : Le Mont Chéry

 

Organisateurs : Paul PESCHON et Esther WATSON

Coach : Jean-Pierre BERNER

 

Nous étions 12 au départ à la Gare de Chêne-Bourg : Paul Peschon, Esther Watson,

Monique Beili, Marie-Claude Crotti, Anne-Marie Eicher, Huguette Stelle, Gisèle Depraz, Roger Merli, Claude Guignard, Liliane Charbonney, Jennifer King (une invitée) et surtout la chienne Tara !

 Cela nous a fait 3 voitures bien remplies surtout par la chienne de 80 kilos ! (c'est une blague, Gisèle !) Notre coach Jean-Pierre prend la situation en main et nous dirige jusqu'aux Platons pour garer les voitures, ce qui nous épargne une partie pénible de la marche à pieds. Nous passons par le Mont Caly, puis commençons la montée vers le sommet du Mont Chéry.

 Les 466m de dénivelé accomplis, il n’est pas encore l'heure du pique-nique (nous sommes partis tôt, pour éviter la chaleur à la montée); de nombreux parapentistes nous survolent et Paul est soudain tenté par une descente à la voile....laquelle n'aura pas lieu pour cause de manque d'équipement ad hoc. !

 Jean-Pierre propose alors de descendre sur l'Encrenaz afin d'éviter la foule de la station du Mont Chéry. Le sentier floral prévu étant impraticable (plus entretenu, hélas !).

La longue descente en fait souffrir quelques-uns, mais une pause pique-nique bienvenue, suivie d’un arrêt au bistrot, leur donnent un second souffle.

Le retour par la forêt vers le Mont Caly est très plaisant I nous noterons que les joyeux randonneurs ont renoncé à une nouvelle pause-bistrot.

 Nous retrouvons rapidement nos fidèle Pégase en passant par un raccourci.




                                                     Paul Peschon


Course du 8 août 2010


But : Passage du Graydon

 
Participants : Jean-Pierre Berner, Jacqueline Bétemps, Carole Buchs, Jane Changeur, Liliane Charbonney, Pierre-Alain et Denise Magnenat, Mireille et Roger Merli, Paul Peschon avec Tara, Suzanne Pisteur, Liliane Riondel, Placida Saveria, Huguette Stelle.

Cheffe de course: Mireille Merli.

 
On se retrouve à la gare de Chêne pour un départ à 8 h. 30. La météo est optimiste, mais Mireille nous annonce un changement de programme. Nous n'irons pas comme prévu jusqu'au Passage du Graydon dont les trois étoiles et les 664 mètres de dénivelé semblent décourager les participants. Mireille nous allèche avec une promenade adaptée à la forme de chacun au bord d 'un joli lac, puis dans les forêts de la Chèvrerie.

 Nous partons donc rassurés de ne pas affronter de passages raides ou aériens, et des descentes vertigineuses Direction Pont de Fillinges, St Jeoire, Onnion, Mégevette et enfin le parking de la Chèvrerie où Jean-Pierre et ses passagers nous attendent  sur la terrasse du chalet de l’Alpaga, café et boutique de cuirs et peaux. Suzanne offre le café à tout le groupe et nous traînons qui à la boutique, qui aux toilettes.

 Enfin Mireille donne le signal du départ. Nous voilà en file indienne sur le sentier de la rive droite du lac de Vallon. Mireille en tête et Roger fermant la marche. Ce petit lac, situé à 1080 mètres d'altitude est magnifique dans son écrin de verdure dominé par les barres rocheuses du Roc d'Enfer. Au bout du lac nous continuons la vallée du Brévon, torrent qui nait au pied du Roc d'Enfer. Mireille telle un berger veille à ce que son troupeau reste groupé et fustige les échappées. Après avoir traversé le torrent nous nous trouvons dans la zone des remontées mécaniques et des pistes de ski au pied du Roc d 'Enfer. Le sentier devient plus raide. Nous faisons plusieurs haltes pour admirer le paysage, discuter avec les randonneurs qui nous dépassent et permettre aux assoiffés de se désaltérer et reprendre des forces. Jean-Pierre en profite pour s'éloigner, suivi de quelques complices, malgré  les appels de Mireille, Suzanne et Denise ont abandonné la course et sont redescendues vers le lac en compagnie de Pierre-Alain.

 Nous continuons notre ascension et nous enfonçons dans une forêt sombre au décor magique et mystérieux, des arbres gigantesques, des troncs morts aux formes hallucinantes et des rochers entre lesquels nous avons du mal à passer malgré nos tailles de guêpes. Après le passage d’un ruisseau sur une petite passerelle, le chemin se fait très étroit, des racines d 'arbres l’envahissent et le rendent acrobatique. La faim se faisant sentir, nous décidons de retourner pique-niquer dans la forêt. Jean-Pierre est loin devant et continue son ascension, Huguette et Placida tentent de le suivre, mais cette dernière abandonnera et rentrera dans le troupeau.

 Après nous être restaurés, nous redescendons pour rejoindre la rive gauche du lac et atteindre la Chapelle Saint Bruno nichée au-dessus du lac de Vallon. L'endroit est paisible et nous prenons le temps de visiter. Nous longeons ensuite la rive du lac jusqu'au chalet de l 'Alpaga où nous retrouvons Jean-Pierre et Huguette de retour de leur échappée. Jusqu'où sont-ils allés? Nous ne le saurons jamais.

 Nous nous attardons sur la terrasse du café, chacun commande sa boisson et nous commentons la randonnée. Il faudra à I'avenir adapter les courses en prévoyant des paliers pour que la participation soit de plus en plus nombreuse et que chacun ait du plaisir selon son niveau, sans pour autant gêner les <costauds> qui veulent aller jusqu'au sommet.

 Puis vient l'heure du retour et des « au revoir » traditionnels sur le parking. Nous arrivons vers 16 h. 30 à la Gare de Chêne Bourg.

  

                                                                                                                                             Mireille Merli

 

                                                                                                          Par délégation :                                                                                                              

                                                                                                          Jane Changeur

 


Compte rendu de la course du 15 août  2010 prévue au Sentier du Coq  - Annulée

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En raison des conditions météorologiques pluvieuses, il était impossible de réaliser la course prévue ; le chef de course a donc pris la décision de l’annuler.

 Néanmoins 3 courageux participants sont venus à 8h à Chêne-Bourg : Claude Guignard (chef de course), Huguette Stelle et Esther Watson.

 Cette dernière ne nous a cependant pas vus dans la voiture et est repartie aussi vite qu’elle était venue, avant qu’on ait eu la possibilité de vraiment la reconnaître, pensant qu’il n’y avait personne ou qu’on ne l’avait pas attendue.

 Les deux obstinés qui restaient ont tenté de se rendre dans la région de Plaine Joux mais l’état du ciel les a dissuadés de toute randonnée en montagne et les a contraints de se résigner à traverser les bois de Jussy et à faire le tour du lac de Machilly.

 La randonnée n’appelle pas de commentaire sauf que

 - elle a duré 2 h 40 et s’est terminée vers midi ; donc pas de pique-nique

- il a plu par intermittences et surtout fortement au retour ; merci les parapluies

- il n’a été vu en fait d’êtres vivants, en plus des limaces, que 2 coureurs, 4 marcheurs, 2 ou 3 vététistes, 2 cavaliers, 2 chiens, le tout sauf erreur ou omission. Il faut encore mentionner les pêcheurs abrités sous des tentes au bord du lac de Machilly, dont on se demande s’ils parviennent à prendre du poisson et, à défaut, s’ils y restent encore la nuit. La question ne leur a pas été posée. Ce sera pour la prochaine fois.

 

                                                                                              Claude Guignard   


                                                                                                       

 Course du 22 août 2010

 

But : Chalet et Point d’Uble

 

Participants : Gisèle Depraz, Claude Guignard, Monique Beili, Esther Watson, Liliane …., Jane Changeur, Nanette Pasquier, Huguette Stelle, Hannick Maurer, Jean-Pierre Berner, Paul Peschon (chef de course) et Tara la chienne.

 

Nous nous retrouvons à 11 au départ de la gare de Chêne-Bourg, répartis en 3 voitures. Avant la montée de Praz de Lys, nous décidons de prendre une route vicinale, en nous tenant les pouces pour ne croiser âme qui vive, tant elle est étroite, surplombante et sans évitement possible.

 Parvenus sans encombre aux Crottes et après un départ à pied sur la route, nous trouvons tout de suite une forte pente, heureusement à l’ombre, car le soleil resplendissant nous fait craindre une surexposition.

 A l’arrivée à l’alpage, nous atteignons un portique, dressé entre deux pâturages, avec une assemblée de vaches d’un côté et une cohorte de génisses de l’autre. C’est là que le choix s’impose, pas entre les bovins mais entre la pointe d’Uble ou les chalets d’alpage (plus court). Le groupe se scinde en deux : 6 ½ d’un côté, en comptant 1 ½ pour Tara, car elle fait au moins deux fois le trajet, et 6 de l’autre ; Jean-Pierre Berner, après avoir joué le rôle de serre-file à la perfection, se dévoue pour guider le groupe de 6 qui se rend vers un lieu de pique-nique à l’ombre.

 Le groupe des rudes montagnards, lui, s’élance vers les cimes qui ne sont plus enneigées depuis fort longtemps. A force de transpiration abondante et respiration haletante, il se hisse enfin jusqu’à cette Pointe d’Uble tant convoitée… et de se congratuler, et de se photographier parmi et de pique-niquer avec une vue aussi imprenable que bien méritée : le ciel est d’une pureté défiant toute concurrence et le Mont Blanc n’hésite pas à nous sauter aux yeux tant il semble proche.

 A la descente, l’habitant d’un chalet nous propose de l’eau potable qu’il tire d’un jerrycan, plutôt que celle de l’abreuvoir des vaches, qui sert de logement à têtards et autres bestioles ! Il nous indique aussi le meilleur cheminement pour rejoindre la route de retour.

 Nous rejoignons le reste du groupe à la buvette de Bonnavaz et apprécions la chapelle restaurée, la cuisine des hôtes et le cidre bien frais.

 Retour aux véhicules par la route et sans problème. Jean-Pierre nous quitte rapidement pour se rendre à la maternité où son nouveau petit-fils l’attend de pied ferme ( !!!) : grâce à lui, la relève des rudes montagnards ci-dessus évoqués est assurée !

 

                                                                                                            

                                                                                                                             Paul Peschon


Course du 5 septembre 2010

 

But : Les Paturages de Jottis

 

Participants : Huguette Stelle, Paul Peschon, Jacqueline Bétemps, Marie-Claude

et Fernand Hernicot, Saveria Placida, Saphia Rahmoune, Gisèle Berthet, Evelyne Kanouté, Lucienne Beili, Jean-Pierre Berner, Liliane Chardonney, Esther Watson, Nanette Pasquier, Moïra Rodgers, Mireille Merli et moi-même,

 

 

Au rendez-vous à 8.30h, 17 personnes se présentent. La météo annonce un temps estival donc, nous prenons la route direction Annemasse, St.Jeoire, puis jusqu’à Mégevette pour se garer à Chauméty.

 

Heureusement la montée sur la route est mi-ombragée et après nous montons sur un sentier dans le bois pour arriver aux pâturages. Ce chemin monte doucement et nous nous arrêtons régulièrement pour admirer la belle vue et aussi pour nous regrouper.

 

Vers midi pique-nique aux chalets des Bétets. Jean-Pierre prépare un feu et nous espérons tous recevoir une saucisse bien grillée. Mais non, c’est juste pour nous enfumer qu’il a fait ce feu !

 

Le retour se fait sur une route forestière sans difficultés. Jean-Pierre, pour se faire pardonner va plus vite pour chercher sa voiture, venir à notre rencontre et véhiculer les chauffeurs à Mégevette pour une petite restauration. Dommage car le seul et unique restaurent est fermé, ce qui nous oblige à se dire au revoir et reprendre la route pour Chêne-Bourg.

 

Arrivée à Chêne-Bourg vers 17.30H.

 

Les participants étaient tous enchantés de cette belle journée en montagne.

 

 

 

Chef de course : Gisèle Depraz



 Course du 12 septembre 2010

But : Mont-Tendre *** (selon programme)

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4 participants : Claude Guignard (chef de course), Gisèle Berthet, Gisèle Depraz avec la chienne Tara, Saveria Placida.

C’est par un beau matin ensoleillé de début d’automne que les participants quittent Chêne-Bourg, après une vaine attente des retardataires éventuels, pour le col du Marchairuz, que l’on atteint sans problème vers 9h20.

Le départ s’organise en direction nord-est et le chemin se met à descendre… Faut-il s’en réjouir ? Pas trop car il sera bien nécessaire de monter une fois si l’on veut atteindre le sommet. Et cela ne tarde pas sans jamais durer très longtemps : tôt ou tard, une descente reprend tout de même pour permettre de mieux remonter plus loin. Par endroits, les chemins couverts de fine herbe verte donnent envie de marcher pieds nus, comme en Appenzell. Envie passagère car, un peu plus en avant, fondrières et sentiers pierreux ramènent durement à la réalité. Le décor jurassien est en place : sapins, vaches qui broutent ou qui ruminent, soleil que masquent parfois de gros nuages, petit air aigrelet, rien ne manque.

Après 2 heures 30, le groupe parvient au sommet principal du Mont Tendre, à 1 689 m. Mais les randonneurs s’y bousculent. Heureusement il y a de l’espace et assez de place pour pique-niquer en paix. La vue s’étend, vers le sud, de Genève, dont on voit le jet d’eau, à Villeneuve et couvre l’entier du lac Léman. Les Alpes au fond, dominées par le Mont Blanc, sont cependant timides. Elles ne tardent pas à se cacher ; pourquoi ne pas oser mieux se montrer ? On aperçoit le lac de Neuchâtel. Au nord, des vagues de sapins à perte de vue, d’où seule émerge une partie du village du Sentier, le lac de Joux restant caché. Et à droite et à gauche, les sommets de la chaîne du Jura, de Bellegarde aux confins neuchâtelois.

Les randonneurs défilent et, après une bonne heure, nous les suivons ou les croisons sur le chemin du retour. Exclamations : « Mais on n’est pas montés par là ». Si, bien sûr, mais les décors ont deux côtés et il faut donc un aller et un retour pour les voir en entier.

Après une succession de descentes et de remontées, le groupe retrouve, après 2 heures, son point de départ du matin. A en juger par le nombre de voitures stationnées et la file de randonneurs débouchant des divers chemins, nous n’étions de loin pas les seuls à profiter du bon air du Jura. La terrasse accueillante de l’Hôtel du Marchairuz a permis ensuite de calmer les soifs naissantes.

En conclusion : une très belle course.

                                                                        Claude Guignard


 Course du 19 septembre 2010


But : Mont-Clergeon (Savoie)

  

Participants : Janine Keller, Paul Peschon, Henri Marchand, Evelyne Kanouté, Esther Watson, Jane Changeur, Monique Beili et Gisèle Berthet (cheffe de course).

 Partis à 5 à 9 h. 05 de la gare de Chêne-Bourg, nous retrouvons les 3 autres au parking de la Grange Neuve (848 m.), au-dessus de Ruffieux. Nous commençons à marcher à 11 h. 10 dans un sentier traversant des bois karstiques ; le balisage jaune indique le chemin. Nous arrivons à la grande Cuve, faille rocheuse d’une dizaine de mètres de profondeur, puis passons devant le four à charbon de bois exploité entre 1943 et 1945 afin de permettre aux véhicules à gazogène de se déplacer.

Nous pique-niquons au sommet du Mont Clergeon (1025 m.) d’où nous avons une vue d’un côté sur les Alpes et de l’autre sur le Grand Colombier. Henri remplit un sac de cynorrhodons pendant que nous faisons la sieste au soleil.

Ensuite nous continuons notre circuit à travers les prairies. Jane fait demi-tour avec deux dames qui se trouvaient sur le chemin juste avant le passage assez raide le long du ruisseau du Vinan, dans la forêt. Ensuite nous traversons le hameau de Rojux, (voir la galerie photos) soit 2 maisons, dont la mairie! et arrivons au parking à 16 h. 15.

A Ruffieux nous dégustons des vins de Chautagne. C’est en effet « portes ouvertes » pour la journée du patrimoine européen.

Nous avons passé une très belle journée et tout le monde est content.

 

 

 

 

                                                                                                   Gisèle Berthet


Course du 10 octobre 2010

 But : Châteaux et légendes du Vuache

  

Participants : Carole Buchs, Marie-Claude Crotti, Paul Peschon, Danielle Dorange, Henri Marchand, Jane Changeur, Mireille et Roger Merli, Véra de Rossi et son ami, Marie-Clade et Fernand Hernicot et deux invités.

 

Châteaux et légendes du Vuache… qui nous emmènent dans la ville de Vulbens, au pied du Vuache.

 Vulbens, nouveaux quartiers, où un ancien château construit au XVème siècle, appartenant aux seigneurs du Vuache, a été détruit. Des fouilles archéologiques ont été entreprises en 1992 ; une borne au pied d’un escalier, datée de 1579, rappelle ces vestiges. Mais surtout des anciens quartiers avec des bâtisses, la plupart rénovées, mais gardant toutes leur style, la plus vielles date de 1344.

 Nous avons pu visiter un « jardin extraordinaire » comme chantait Trénet, où de multiples plantes poussent ; la propriétaire nous citera tous les noms en latin, nous montrant même des photos prises au printemps.

 Nous rencontrons sur notre route une dame qui emmène sa biquette, nommée « Poupée » au champ, ainsi que 2 shetlands montés par deux jeunes filles.

 Nous aurons parcouru 5 km 200 tranquillement, en admirant chaque détail de ces anciennes bâtisses, en ramassant noix, noisettes et châtaignes.

 Nous finissons notre course au café restaurant « Le Gouverneur » autour de boissons chaudes ou froides servies par une restauratrice du pays.

  

 

 

                                                                                                   Marie-Claude Hernicot



 

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